Emmanuelle Sirois |
Pour nourrir la discussion, nous vous invitons à partager l'expérience d'un malaise spectatoriel que vous auriez vécu. Comment le décririez-vous ?
RV lundi 23 novembre 2015 de 18h à 21h au département de danse de l'UQAM à Montréal (métro Sherbrooke au 840, rue Cherrier, local K-3105).
Possibilité d'assister à des séances à la carte.
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Emmanuelle Sirois est cofondatrice de l’UPop Montréal. Elle a complété un diplôme d’études supérieures spécialisées en mobilisation des connaissances (Institut national de la recherche scientifique) et une maîtrise en études théâtrales (Université libre de Bruxelles-Université Paris 8, Vincennes-Saint-Denis). Elle enseigne à l’École supérieure de théâtre de l’UQAM et poursuit un Doctorat en études et pratiques des arts. Ces intérêts de recherche se situent au confluent de la sociologie des arts et des études théâtrales.
Révélée au Festival d'Avignon en 2010, l'auteur, metteur en scène et comédienne espagnole Angélica Liddell orchestre des performances saisissantes où drames intimes et sociétaux ne cessent de s'entrechoquer. Dans La Casa de la fuerza, six femmes habitent la scène pour dire la difficulté d'être femme quand la relation à l'autre devient rapport de force, humiliation quotidienne, cruauté. « La maison de la force, c'est la maison de la solitude. C'est un putain d'endroit où l'on compense l'épuisement spirituel par l'épuisement physique. C'est le lieu de l'humiliation et de la frustration. »
À lire : Marie-Claude Garneau et Emmanuelle Sirois, J’accuse : complexes féministes, Jeu : revue de théâtre, Numéro 156 (3), 2015, p. 20-25.
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